Por Víctor Manuel Quintero Pulgarín
L’un d’eux avait souri et dans les champs les tournesols épanouirent. La tombée du jour
encore survivait. Le soleil était sur le point de se cacher et seulement la nuit resterait, la
belle et fatale dame qui dissipe les ombres. L’air était devenu transformé plus frais. La brise
était plus forte.
L’autre garçon soupira et dit:
Les jolies histoires sont courtes, tu sais. Peut être que quand elles s’étendent elles perdent
le mystère de l’inconnu, la curiosité par la surprise.
Cette histoire est juste à quelques minutes et pour l’univers ne peut être plus que le
mouvement des feuilles d’un arbre ou les sons des vagues d’une mer lointaine qui se
heurtent contre les roches. Toutefois, pour moi, c’est une réelle rencontre, profonde,
éternelle à son éphémérité.
La vie est incertaine… malgré çela je sais que tu es ici, en face de moi. Et quand seulement
nous serons de souvenirs, je serai sûr de l’existence de ce moment et je saurai que j’ai été
heureux.
Le soir tomba.
L’un des garçons étira le bras, ouvrit sa main et la laissa suspendue dans l’air avec la paume
contre l’autre. Lui, il correspondit de la même façon. Tous les deux s’offrirent un dernier
regard, un dernier contact et une pensée partagée qui passa fugace entre eux, nous étions un
reflet dans l’air, nous sommes réels. Ils se séparèrent et chacun donna deux pas en avant
jusqu’à rester dos à dos. À la prochaine, pensa l’un. À tout à l’heure, pensa l’autre. Et les
deux continuèrent leurs chemins.
De nouvelles fleurs s’épanouiront
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