lunes, 7 de marzo de 2016

LA NUIT ÉTOILÉE

Por Víctor Manuel Quintero Pulgarín

L’un d’eux avait souri et dans les champs les tournesols épanouirent. La tombée du jour encore survivait. Le soleil était sur le point de se cacher et seulement la nuit resterait, la belle et fatale dame qui dissipe les ombres. L’air était devenu transformé plus frais. La brise était plus forte.

L’autre garçon soupira et dit:

Les jolies histoires sont courtes, tu sais. Peut être que quand elles s’étendent elles perdent le mystère de l’inconnu, la curiosité par la surprise.
Cette histoire est juste à quelques minutes et pour l’univers ne peut être plus que le mouvement des feuilles d’un arbre ou les sons des vagues d’une mer lointaine qui se heurtent contre les roches. Toutefois, pour moi, c’est une réelle rencontre, profonde, éternelle à son éphémérité.
 La vie est incertaine… malgré çela je sais que tu es ici, en face de moi. Et quand seulement nous serons de souvenirs, je serai sûr de l’existence de ce moment et je saurai que j’ai été heureux.

Le soir tomba.

 L’un des garçons étira le bras, ouvrit sa main et la laissa suspendue dans l’air avec la paume contre l’autre. Lui, il correspondit de la même façon. Tous les deux s’offrirent un dernier regard, un dernier contact et une pensée partagée qui passa fugace entre eux, nous étions un reflet dans l’air, nous sommes réels. Ils se séparèrent et chacun donna deux pas en avant jusqu’à rester dos à dos. À la prochaine, pensa l’un. À tout à l’heure, pensa l’autre. Et les deux continuèrent leurs chemins.

De nouvelles fleurs s’épanouiront

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